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| Sujet: Je m'appelle Mi-Yeon ~~ 내 이름은 미 연 입니다 Sam 27 Nov - 21:09 | |
| CHUNG Mi-Yeon feat. Yoon Eun Hye |
nom & prénom ; CHUNG Mi-Yeon Shuji Nanae date de naissance & âge ; 25 Décembre, 17 ans (Bientôt 18, s'il vous plait !) nationalité ; Coréenne Japonaise race ; Humaine orientation ; Hétérosexuelle dortoir & année ; Dortoir C, Deuxième année métier ; En secret, elle pose pour des magazines de mode groupe ; Dortoir C poste vacant ; NON |
not good enough for truth in the cliche
APPEARANCES OFTEN LIE, NO? Mi-Yeon marche vite, tête baissée, sans regarder autour d’elle. Alors ce que l’on voit d’elle, c’est un corps joliment proportionné, et des cheveux bruns souvent remontés en chignon ou queue de cheval négligé. De manière générale, elle les a assez long, et légèrement ondulés, mais il lui arrive de les lisser. Que dire d’autre? 1m65, 45kg, pointure 35, voilà pour ce qui est d’une description simple et rapide. Généralement, les gens ne la trouvent pas extraordinaire, parce ce qu’elle n’est pas très avenante, à première vue. Pourtant, un simple sourire illumine tout son visage et elle a de très jolis yeux noirs qui brillent comme des étoiles. Mais elle réserve sûrement cette beauté naturelle à ceux qui la mérite, et ils se font rares. Côté vêtements, elle est tenue de porter l’uniforme, c’est certain. Mais en dehors des cours, elle est transformée. Elle aime les couleurs naturelles et le fait bien sentir dans ses choix vestimentaires. Plutôt pratique, casual et simple en restant original, elle se fiche pas mal de ce que les autres penseront d’elle. Dernier détail physique de taille, Mi-Yeon souffre d'insuffisance respiratoire de stade 1 due à un asthme chronique non traité quand elle était petite. Rien de grave, sauf en cas d'effort. Mais elle ne le montre pas, et vous ne risquez pas d'être au courant.
PARFOIS, ON OUBLIE QUI L’ON EST Dossier n°56GT4367FS80 – CHUNG Mi-Yeon – Dr PARK Cette jeune fille est venue pour la première fois dans mon bureau il y a de ça un an. Elle n’a jamais rien révélé de son passé, si ce n’est qu’elle est issue d’une famille très riche. Je ne crois pas qu’elle en parlera un jour, il semble qu’il s’agit là d’un sujet tabou qu’elle s’efforce d’oublier à n’importe quel prix. Quoiqu’ici, le mot oublier serait trop fort, et j’aurais plutôt tendance à dire que derrière ce mutisme forcé sur sa famille et sa vie se cache des histoires bien plus compliquées. Lorsque j’ai essayé de la faire parler à ce sujet, elle s’est vexée et n’est pas venue à son rendez-vous hebdomadaire pendant un mois. C’est une des caractéristiques principales de Mi-Yeon, elle évite toujours la confrontation directe. Là où n’importe qui m’aurait répondu avec méchanceté, ou ce serait mis en colère, elle s’est contentée de sourire et de quitter la pièce. Cela explique sûrement le comportement des jeunes à son égard. Elle m’a révélée être victime de moqueries incessantes et d’une indifférence agaçante lorsqu’elle va en cours. Je pense que les gens n’arrivent pas à se détacher de l’image qu’elle renvoie. Elle donne l’impression d’une fille timide, trop sérieuse, acharnée au travail, ringarde et faible. Mais ce que je me demande, c’est pourquoi elle fait tant d’efforts pour cacher sa véritable personnalité. Je la connais depuis suffisamment longtemps pour vous dire que Mi-Yeon est une jeune femme enjouée, dynamique et très enthousiaste. Elle a conscience de ses limites mais s’efforce de les dépasser en permanence, même en sachant que ce n’est pas bon pour elle. J’irai même jusqu’à dire que c’est une vraie casse-cou. Il n’est pas étonnant qu’elle passe beaucoup de temps en salle de sport, c’est un bon moyen de canaliser son énergie et sa colère. Ne croyez pas que les critiques ne l’atteignent pas. Elle a juste trop de fierté pour l’admettre et ne pleurera jamais en public. Je pense pourtant que c’est une fille sensible, et même si elle ne m’en a jamais parlé directement, je peux affirmer sans me tromper qu’elle souffre de cette situation. Il y a autre chose à savoir sur elle. Dotée d’une excellente mémoire, elle n’oubliera jamais les torts qu’on lui a faits, et elle ne pardonne pas facilement. Vraiment pas. Elle peut contenir sa haine pendant des années s’il le faut, mais elle n’oublie rien du tout. Si cela peut vous rassurer, elle est suffisamment patiente pour ne pas vous sauter à la gorge à chaque fois qu’elle vous croise. Par ailleurs, je ne sais pas si elle s’est déjà énervée contre quelqu’un, mais je suis certain d’une chose, c’est que si cela devait arriver, ça pourrait dégénérer. Elle m’a dit une fois que seuls des amis proches pourraient la mettre hors d’elle, parce que c’est bien plus douloureux quand des amis sont à l’origine de la souffrance. J’ose supposer qu’elle parlait d’une expérience vécue. Ce qui explique sûrement sa difficulté à se faire des amis. Sinon dans la vie quotidienne, Mi-Yeon est assez bonne cuisinière et couturière, mais pas franchement ordonnée. J’aurais cru qu’elle était du genre capricieuse et dépensière, en sachant qu’elle avait grandi dans une famille riche, mais ce n’est pas du tout le cas. Elle est plutôt passionnée, et se consacre entièrement à ce qui lui plait. Elle n’a pas l’air de se sentir supérieure aux autres. Elle est même une très bonne amie. Elle se sacrifierait pour aider quelqu’un qu’elle apprécie et n’hésiterait pas à subir les conséquences à la place de quelqu’un d’autre. Mais ce n’est pas facile de mériter son amitié. Pourtant, c’est quelqu’un de génial quand on la connait un peu mieux. Elle est drôle, entraînante… Il suffirait d’essayer de la connaître, ne serait-ce qu’un peu.
SWEETS, CANDIES AND CHOCOLATES ARE THE BEGINNING OF EVERYTHING Elle est plutôt dentifrice goût tutti-frutti et shampoing parfum abricot. Tout ce qui est sucré l’attire, elle adore les sucettes et en a toujours quelques unes dans ses poches. Elle déteste le thé mais est accro au café-chocolat, si bien qu’elle se promène avec un thermos à n’importe quelle heure de la journée. Il lui arrive de se faire des sandwichs au miel ou à la confiture pour son repas de midi. Elle a des goûts assez étranges en nourriture, elle déteste la fraise et les frites mais adore les pommes de terre sautés… et son plat préféré est le riz sauce caramel avec du poulet et en dessert un sundae sauce épicée… sisi, je vous assure ! Niveau couleur, une chance, elle n’a pas de préférence ! Elle les aime toutes, mais pas dans toutes les circonstances. Si vous lui offrez des fleurs violettes, c’est une erreur, elle déteste ça. En revanche, sa pierre préférée est l’améthyste. Côté bijou, elle ne porte presque jamais de bracelets, elle ne trouve pas ça pratique pour écrire. Mais elle adore les colliers. Par ailleurs, n’hésitez pas à l’inviter au karaoké, c’est un de ses loisirs favoris ! Elle fait de la danse depuis qu’elle est toute petite et se passionne pour ce sport. Quand elle a un peu de temps libre, elle s’entraîne dans un gymnase. D’ailleurs, elle aime le sport en général, a pratiqué les arts martiaux avant même de savoir marcher et était très douée en plongeon. Elle a aussi appris à se servir d’une arme à feu, mais c’est une chose qu’elle répugne par-dessus tout. Une de ses habitudes les plus marquées est un footing obligatoire tous les matins. Elle aime bien y aller avant que le soleil ne soit pas totalement levé donc… la miss est une lève tôt. Très tôt. Niveau plus scolaire, les cours l’ennuient mais elle s’accroche. Ses matières préférées sont les langues étrangères, qu’elle apprend depuis qu’elle est toute petite, et elle est déjà quadrilingue, chose dont elle se sert quand on l’embête, pour répliquer dans une langue que les autres ne comprennent pas. Son temps préféré est la neige, elle préfère la tente que l’hôtel, la montagne que la plage, la moto que la voiture. Elle collectionne les boules à neiges et les gadgets en plastiques style bracelets, colliers ou figurines qu’on peut acheter dans des distributeurs. Elle adore les fêtes foraines et les attractions fortes, et gagner des peluches au stand de tir.
i'm the king/queen of my life
OUPS, J'AI OUBLIE MON NOM
15 - 25 Décembre 1992, clinique privée de Fukuoka, Japon Une jeune femme d’à peine dix-neuf ans souffre le martyr en salle d’accouchement. Cela fait des heures qu’elle y est entrée, et rien ne semble se passer correctement, les infirmières entrent et sortent, les médecins se relaient, et petit à petit, la panique commence à gagner les quelques personnes qui l’attendent en salle d’attente. Le futur père a été écarté de la salle, et reste assis, dans une sorte de tranquillité glaciale qui effraie ses voisins. Il s’appelle Shuji Masato, et c’est l’un des trafiquants d’armes les plus recherchés du Japon. Il est connu pour sa sévérité et ses manières d’une grande élégance. Il dirige son organisation d’une main de fer, et jusque là, son intelligence lui a permis de ne jamais être arrêté. Shuji jouie d’ailleurs d’une réputation peu enviable pour les gens honnêtes, et la presse lui a prêté de nombreuses personnalités sans jamais réussir à le percer à jour. Tantôt séducteur et tantôt cruel tortionnaire, jamais un journaliste n’est parvenu à découvrir la véritable personnalité de cet homme. Le médecin sort finalement de la salle d’opération, l’air sombre, et Masato sait. Il ne réagit même pas quand on lui annonce le décès de sa jeune épouse. Il ne réagit pas non plus quand on lui dit que l’enfant est trop faible et qu’on ne pense pas qu’il va vivre. Parce qu’il sait que cette petite fille qui vient de naître sera son héritière, et qu’elle vivra. Jamais un homme n’avait autant aimé sa femme, et jamais un homme n’avait été si fier d’avoir une fille. Les jours qui suivirent la naissance furent très étranges pour ses employés. Masato les passa au chevet de ce petit enfant si petit et si faible. Mais Nanae survécut. On ne déclara sa naissance que le 25 Décembre, après s’être assuré qu’elle serait assez forte. Mais elle avait de qui tenir.
5 Mars 1996, Fukuoka, Japon Nanae va à l’école. Comme tous les autres enfants. Elle vit presque normalement, si ce n’est qu’elle est sans cesse accompagnée d’un garde du corps américain, ancien boxeur. Agée d’à peine 4 ans, elle commence déjà la danse, les arts martiaux et son père l’initie à l’utilisation d’une arme à feu. Trop jeune ? C’est certain. Enormément de gens seraient choqués à cette idée. Du moins comme l’ont été les parents de ses camarades de classe. Nanae n’avait pas conscience de l’anormalité de sa situation, et en avait donc parlé à l’école. Autant vous dire que ça n’a pas plu aux parents qui ont défendu à leurs enfants de jouer avec elle, par ailleurs, on connait tous les habitudes des petits à être cruels entre eux, et Nanae en fit les frais. On la traita de fille d’assassin, et de toutes sortes d’autres noms qu’elle ne supportait pas. Le 5 Mars, la maîtresse d’école convoqua Shuji, qui fut forcé d’envoyer Nanae dans une école privée, car la présence de la petite faisait peur. Ce fut la première grande déception de la fillette, qui en garde encore un souvenir traumatisé.
25 Décembre 2000, Kyoto, Japon Nanae va fêter ses 8 ans. C’est un jour important, car son père doit la présenter à l’ensemble de son organisation. Il lui a dit qu’elle sera son héritière, ce qu’elle n’a pas bien compris, mais qu’à cela ne tienne. Sa nourrice, d’origine coréenne, lui a appris sa langue, que la petite parle à merveille. Elle est aussi douée en japonais et en anglais, et son coach personnel commence à lui enseigner le russe. A l’école, elle est acceptée comme les autres, à croire que quand on paye cher pour entrer quelque part, tout va mieux. Quoiqu’il en soit, ce jour-là, Nanae était dans la limousine de son père, qu’elle devait rejoindre dans un grand restaurant de Kyoto. Mais la voiture fut la cible d’une attaque surprise et Nanae fut blessée au bras. Plus jamais son père ne la laissa quitter ses quartiers. Il l’envoya vivre dans les montagnes au nord de l’île nipponne et ce fut le dernier contact de Nanae avec le monde extérieur. Privée de télévision, d’ordinateur, et même de téléphone, elle vécut en recluse pendant près de 8 ans, entourée de son garde du corps, de sa nourrice, de sa professeur personnelle et de son entraîneur sportif. Une jolie prison dorée, rien que pour elle.
4 Février 2009, à quelques dizaines de kilomètres de Nagano, dans les montagnes, Japon Nanae a 16 ans. Elle est devenue une très jolie jeune femme, a étudié dur pour comprendre le monde des affaires, et apprendre à gérer « l’entreprise » de son père. Mais ce n’est pas vraiment ce qu’elle souhaite. Son caractère aussi s’est développé, et elle est loin de la jeune fille autoritaire que son père voulait qu’elle devienne. Il l’accepte d’ailleurs plutôt bien. Stricte dans son métier, il reste un père idéal pour Nanae, qui ne voudrait en aucun cas le perdre, jamais. Elle rêve de devenir danseuse, ou peut-être nageuse. Mais certainement pas directrice d’une organisation crapuleuse. Un jour, alors qu’elle s’entraînait au plongeon dans sa piscine privée, des bruits d’hélicoptères résonnèrent au dessus de sa tête. Elle n’eut pas le temps de réagir. Personne n’eut le temps d’ailleurs. Elle n’était même pas préparée à une attaque surprise de ce genre. C’était elle qu’ils venaient chercher, c’était une évidence. Mais ce qu’ils ignoraient, c’est que Nanae souffrait d’asthme depuis toujours, et que cet asthme, non traité, s’était transformé en insuffisance respiratoire, et que ce genre de sentiment de panique était mauvais pour elle. Elle tomba de son plongeoir dans l’eau, et se cogna la tête contre le rebord de la piscine. Une chute qui aurait pu lui être fatale. En voyant la scène, les ennemis de son père, venus pour l’enlever et faire chanter Shuji, repartirent en vitesse sans demander leur reste. Si Shuji apprenait qui était responsable de la mort de sa fille chérie, cela retomberait sur eux et ils le paieraient au centuple. Dans l’attaque, son garde du corps avait perdu la vie, et cela, Nanae ne pourra jamais l’oublier. Depuis ce jour, elle exècre les armes à feu. Sauvée in-extremis par sa nourrice qui avait fait des études d’infirmière, Nanae ne voulut plus jamais entendre parler de cette vie. Elle refusa de parler à son père pendant plusieurs jours, et lui annonça finalement qu’elle ne voulait certainement pas prendre le relais, que c’était malsain et dangereux et qu’elle n’avait pas envie de mourir.
25 Août 2009, New-York, USA Nouveau nom, nouvelle nationalité, nouvelle identité. Tout ce que vous avez lu jusque là appartient à un secret extrêmement bien gardé. Nanae est devenue Mi-Yeon, fille d’un coréen et d’une japonaise émigrés aux USA et morts dans un accident de voiture. Elle a étudié chez elle et a déménagé à New-York. La voilà donc avec un nouveau passé et de nouvelles portes ouvertes vers l’avenir. Son père a tout arrangé, elle dispose d’un compte en banque à faire pâlir de jalousie nombre d’héritiers. Plus riche qu’elle n’aurait jamais pu penser l’être, elle jouie d’une liberté toute nouvelle. Embauchée dans une famille américaine comme jeune fille au pair, elle décide de perfectionner son anglais tandis que des rendez-vous réguliers à l’hôpital lui permettent de traiter son problème d’insuffisance respiratoire. Une oxygénothérapie et la prise régulière de médicaments font partie de son quotidien, et il semble que son état s’améliore de manière visible. En plus de son petit boulot au sein de cette famille, elle suit quelques cours à l’université. Le 25 Août, elle fait son premier jour de classe dans une structure totalement anglophone, et c’est son premier contact avec des gens de son âge (ou presque) depuis bien longtemps. Elle ment d’ailleurs sur son véritable âge pour être acceptée, mais reste la cible de moquerie, par son ignorance du monde et son horrible accent japonais à couper au couteau.
6 Août 2010, Séoul, Corée du Sud Mi-Yeon est plus déterminée que jamais à entrer à Haengbok Academy. Pour la première fois, elle doit convaincre seul quelqu’un de l’accepter, car d’habitude, le simple nom de son père suffisait à obtenir ce qu’elle voulait. Mais Chung Mi-Yeon n’est plus la fille de Shuji Masato, et elle doit se débrouiller seule. Ce jour-là, elle avait pris rendez vous avec le directeur Kim. Un rendez-vous qu’elle appréhendait beaucoup. Pourtant, il ne fut pas si difficile pour elle de le convaincre de la prendre. Elle négocia ferme, accepta de passer des tests, et fut prise grâce à son don pour les langues étrangères, qui relevait son niveau scolaire pitoyable. Qui plus est, elle avait clairement les moyens d’entrer là, et refusait tout net de changer ses plans. La voilà donc inscrite dans l’une des écoles les plus réputées de Séoul, seule au milieu de tous ces étrangers, seule pour affronter le monde tel qu’il est, et pas prête du tout. Elle parle certes bien le coréen, avec un léger accent japonais qui la trahie. Mais sa plus grande inquiétude vient de sa chambre. Partager sa chambre, c’est admettre que quelqu’un sache qu’elle porte un appareil respiratoire la nuit. Quelle poisse…
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pseudo ; Kaelly âge ; Entre 0 et 90 =D comment ai-je connu SG ? ; C’est une bonne question… Je dirais… Angel Entertainment quelque chose à dire ? ; N’oubliez pas d’arroser les plantes vertes quand vous partez en vacances !!
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Dernière édition par Chung Mi-Yeon le Jeu 2 Déc - 0:49, édité 2 fois |
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